Depuis les origines, la vie comme un don venant de Dieu, est sacrée et
inaliénable. Voilà pour quoi nombre de lois ont tété rédigées afin de pouvoir
protéger et préserver cette dernière (la vie). Quoi de plus normal est
d’accorder une importance particulière à celle-ci (la vie). Alors faut-il la
préférer plus que tout ?
Absolument pas, car
« celui qui aime sa vie la perd » nous dit le Christ. Comme
chrétiens, notre vie est appelée à
suivre la vie du Christ laquelle a connu des difficultés de tout genre au point
d’être étouffée « si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il me
suive ».
Marchons à la suite du Christ en acceptant de souffrir en ce monde pour la vie éternelle « celui qui s’en
détache en ce monde, la garde pour la vie éternelle ». Et pour que nous
soyons des semences de nos frères et sœurs, acceptons de perdre notre vie,
notre estime, nos avantages pour les autres « si le grain de blé tombé ne
meurt pas, il reste seul : mais s’il meurt, il donne beaucoup de
fruit ».
Que le Christ nous aide à être obéissants aux exigences de notre identité
chrétienne pour que nous soyons « la cause du salut éternel » pour
les autres.
Union de prière pour
toutes celles qui portent le prénom de
Clémence dont l’Eglise fait mémoire en ce cinquième Dimanche de Carême. A tous
et à chacun, bonne journée dominicale.
Jérémie : 31, 31 - 34
Psaume : 50
Hébreux : 5, 7 - 9
Jean : 12, 20 - 33
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