En Lui habite toute la plénitude de Dieu, la vie éternelle
A l’angélus de dimanche, Benoît XVI a commenté l’Evangile du jour centré sur la résurrection de Lazare qui, a-t-il souligné, n’est pas encore cette « nouveauté absolue » qui fera irruption dans l’histoire de l’homme avec Jésus, mais un épisode qui nous met face au Christ « résurrection et vie » et nous invite à nous interroger sur la mort. « La mort, a dit le Pape, représente pour nous comme un mur qui nous empêche de voir au-delà, pourtant notre cœur, lui, voit au-delà de ce mur, même si nous ne pouvons pas connaître ce qu’il cache ». Cette réalité qui « dépasse les limites de notre raison » est celle-là même qui fait naitre « doutes et confusion » parmi les chrétiens. Elle requiert donc un acte de foi, a poursuivi le Pape, pour croire que le Christ a vaincu la mort du péché, qui menace l’existence de chaque homme », et que sa « résurrection n’est pas un retour à la vie précédente, mais l’ouverture d’une réalité nouvelle, d’une terre nouvelle, finalement unie à nouveau au Ciel de Dieu ». « Le Christ, a conclu Benoît XVI, abat le mur de la mort, en Lui habite toute la plénitude de Dieu, qui est la vie, la vie éternelle ».
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I'm a catholic. Someday i've love to visit Rome and the Vatican city.