« Ce n’est pas le mal génocidaire qui est banal : le problème vient de ce qu’il ait été accompli par des hommes qui n’avaient rien de monstrueux. » - dit un critique.
C’est une voix off qui ouvre La Chute : nous sommes en 1942, et Hitler doit choisir une secrétaire particulière. Six se présentent : c’est Traudl Junge qui sera prise. Puis une ellipse de deux ans et demi nous sépare de cet épisode. Avril 1945 : Berlin est encerclé, les combats y font rage, Hitler s’est réfugié dans son bunker. La fin de la guerre approche ainsi que les derniers jours du Reich. Le rapport entre ces deux moments ? C’est du point de vue de sa secrétaire particulière qu’est abordée la chute de Hitler. Elle fait le récit de ces moments passés aux côtés du Führer : la voix du début, qui réapparaît à la toute fin du film, où l’on voit cette fois qui parle et pour quelle raison, n’est autre que celle de Traudl Junge, soixante ans plus tard.
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